La fin des " sans coeur "

Nicolas se tenait immobile, la montagne se dressait et abritait le repaire des " sans cœur ". Mais la montagne se révélait inoccupée voir désert. Nicolas et Amayelle escaladèrent la monté.

" Fait attention Amayelle, il ont surement posé des piège. "

Pourtant l'escalade de la montée se fit sans réelle problème jusqu'à la vu d'une veille entré de la mine, surement la base, pourtant de petites pierres tomber d'en haut et indiquer un mouvement

" Amayelle, ou retour en arrière c'est un piège et on risque d'y passer. "

Aussitôt qu'ils se retournèrent un énorme rocher s'écrasa au sol et dévala la pente, Nicolas prit Amayelle par la main et l'envoya dans un creux de la paroi et ainsi la protéger. Nicolas se transforma et envoya une puissante décharge électrique sphérique sur le rocher ce qui le fit exploser et projeta Nicolas en arrière.

Une fois la montagne escaladée, Amayelle s'avança doucement lorsque Nicolas la mis en garde. Amayelle jetta un bref regard autour d'eux, puis ils s'avancerent vers l'entrée de la mine. Voyant le danger, Nicolas fit volte face.

"Je pense qu'il doit y avoir une entrée un peu plus loin ..."

Tout à coup, un énorme rocher chuta et dévala la pente. Amayelle écarquilla les yeux, éffrayée. Elle resta immobile. Elle était comme paralysée, les pieds collés au sol.
D'un geste vif, Nicolas la prit par le bras et la plaça dans un creux d'une pente. Immédiatement, Amayelle se baissa. Lorsqu'elle se releva, la poussiere l'aveugla.

"Nicolas ? Ou es tu ? Ca va ?"

Alors qu'elle continuait d'appeller de toutes ses forces son ami, Amayelle basculait la tete de gauche à droite tout en tentant d'enlever la poussiere autour d'elle. Soudain, elle entendit quelque bruits de pas autour d'elle. Et ce n'était certainement pas Nicolas ...

Invité

Artora était assit dans un coin de la grande salle du château d'Hyrule et venait de terminer de nettoyer son bouclier. Il passa par la suite à son épée longue à une main. En plus de la nettoyer elle aussi, il l'aiguisa encore plus pour atteindre une perfection en matière de tranchage. Le chef de la garde était content de lui et il reluisait plus que jamais dans son armure complète. Sa haute posture ainsi que son aspect mystéiruex dû au fait qu'on ne voyait quasimment jamais son visage à cause de son heaume le rendaient plutôt impressionnant et cela était déja une des raison pour lesquelles il était très respecté par les homes qu'il dirigeait.
Depuis un petit temps déja, il n'avait pas eu grand chose à faire. Les temps étaient calmes au château et bien que cela ne le dérangeait pas beaucoup, il s'ennuyait et avait des fois tendance à espérer qu'il se passe quelque chose. Il continuait toutefois son entraînement quotidien afin de rester au meilleur de sa forme au cas où un danger soudain venait à apparaître.
C'est alors qu'un des gardes d'Artora vint vers lui et lui fit passer un message.

Capitaine! Un homme se disant être un "informateur" souhaitrait vous parler, dois-je vous le faire parvenir?

Artora prit alors un air étonné mais lui répondit aussitôt.

Oui fais le venir.

Artora se releva alors et attendit la venue de l'informateur. Ce dernier arriva rapidement et le prévenu de la présence d'une bande de bandits présents sur le Mont du péril. Il lui signala la position exacte de leur base et ajouta qu'ils étaient tout de même un grand nombre. Artora se dit qu'il ne fallait pas les laisser faire ce qu'on bon leur semblait et puis, il y allait enfin avoir un peu d'action.
Le chef de la garde parti donc chercher quelque homme pour l'aider mais il n'en prit que peu, étant donné que ramener une grosse patrouille n'allait pas être très discret, et puis i fallait laisser le plus de gardes possible au château afin de portéger la princesse. Il prit donc avec lui six hommes bien armés et en armure complète. Le groupe parti rapidement et Artora s'impatientait deja de rejoindre l'homme qui lui avait envoyé l'informateur.

Après quelques heures de marche, il parvinrent à l'endroit indiqué par l'informateur et Artora vit de loin un énorme rocher rouler vers deux silouhettes qui parvinrent à l'éviter de justesse. Artora et ses hommes coururent vers ces dernières et une fois arrivé jusqu'a eux, il vit qu'il y avait un homme et une femme. Le chef de la garde et ses hommes les aidèrent à se relever et Artora prit ensuite la parole.

C'est sûrement vous qui m'avez envoyé un informateur pour signaler la base des bandits. Je me présente, Artora, chef de la garde royale au château d'Hyrule. Je suis venu avec six de mes hommes pour vous aider.

Nicolas se réveilla, carrément a l'ouest, entouré d'homme en armure, surement la garde qu'il avait informé, mais reprit très vite ces esprit quand un homme, sans doute le chef s'approcha.

C'est sûrement vous qui m'avez envoyé un informateur pour signaler la base des bandits. Je me présente, Artora, chef de la garde royale au château d'Hyrule. Je suis venu avec six de mes hommes pour vous aider.

Oui, c'est moi, mais avant vous n'avez pas vu une femme...

Amayelle se tenait la au coté des gardes,silencieuse et inquiète.

C'est bon et oui c'est moi qui vous est envoyé ces infos, bon puisque vous ête la, ne perdons pas de temps et voici le plan. Ils nous attendent avec des pièges qui peuvent être mortel donc Amayelle et moi allons grimper pour les rejoindre et les prendre par surprise, pendant 4 des soldats iront inspecté la cave dodongo, un passage mène vers la cachette et il attaquerons ainsi a revers quand a vous et au reste du groupe parcourer la montagne et débarrassez des éclaireur. Attention pour le groupe des éclaireurs faites attention car le terrain est a votre désavantage. Aller c'est parti.

Nicolas fit signe a Amayelle par ou escalader, la paroi n'est pas très élever et Nicolas fit la courte échelle et ainsi faciliter la monté.

Lorsque Nicolas fit signe à Amayelle, la jeune fille s'éxécuta imédiatement. Elle ne voulait pas paraitre trop lente ni trop embarassante pour lui. Elle se hata de grimper et tendit sa main à Nicolas.

"Attrappe !!"

Elle lui avait dit qu'elle voulait se battre, donc elle se battrait. Apres tout, son but était de vaincre le chef des sans coeur depuis le début et elle s'était promis qu'un jour, elle y arriverait, coute que coute.
Alors que Amayelle le suivait de pres, elle écarquilla grand les yeux et tapotta à l'épaule de Nicolas doucement en lui montra du doigt ce qui l'effrayait.

"Re ... Re..Regarde .."

Amayelle sortit ses poignards discretement et s'approcha doucement d'eux avec Nicolas. Ils devaient les prendre par surprise. C'était le plan. Et ils devaient le suivre à la lettre.

"Quand tu veux pour attaquer Nicolas ... Je suis prete. Dis moi juste qui attaquer."

"Quand tu veux pour attaquer Nicolas ... Je suis prête. Dis moi juste qui attaquer."

Nicolas restait silencieux et attendait, pour éviter le refus de sa tactique il avait caché un détails, les piège qui protège une entré sont surveiller car il agisse comme des remparts donc ils devait se faire surveiller par personne caché par les roche prêt a attaqué en cas d'attaque ennemie sur les pièges... Les soupçons de Nicolas se révélait malheureusement fondé et déjà qu'une volée de poignard se dirigeaient vers eux, pris de cours, il poussa Amayelle contre une pierre et se jeta vite au sols pour esquiver. Profitant d'un moment de répit, il se releva et alla se cacher derrière la pierre avec Amayelle.

- Aucun plan n'est parfais j'aurais du te prévenir que qu'on nous attendait, enfin sa fait rien les autre vont se ramener et ce des pièges ne peuvent pas partir et laisser l'entré sans surveillance...
Si nous voulons détruire les pièges nous allons devoir avant tout exterminer ce caché dans les roche, voici comment on s'y prends, je me jette dans la pluie de poignards, comme il doivent bouger, il seront un moment a découvert a se moment la tu envoie un poignard, après on détruira les pièges et le reste des gardes qui surveillent enfin nous rentrerons par la sortie des ceux qui ont tendis l'embuscade.
Logiquement vus qu'il venait de derrière il devrait avoir une entré dérober...

Posant sa main sur ses cote pour soupirer il se rendit compte qu'il a était effleurait par un poignard, s'arracha un morceaux de cape et se banda pour éviter tout d'aggraver la blessure. Il sourit en coin et se jeta dans la les coups qui pleuvait esquivant les poignards en faisant des saut, des pas de coté. Il prenait sa pour un jeux vus le niveaux des adversaires.