C'était une mâtiné paisible, comme les bois perdus en connaissait tout les jours depuis la chute de Ganondorf. Les pestes mojo avaient renoncées à attaquer tout les passant, et les plantes carnivores avaient presque toutes disparue. Si bien, que même l'épaisse brume qui recouvre les lieux pouvait semblait apaisante, comme si le mal avait définitivement quitté la forêt.
Pourtant, c'est à travers cette même forêt qu'un étrange visiteur traversé d'un pas pressé, recouvert d'une grande cape il avance avec aisance sur les racines des arbres, qui semblent s'écarter sur son passage, comme si le simple faite de le toucher risquait de les blesser à jamais. Sa destination ? Le cœur de la forêt et plus précisément, le temple qui si trouve, source même de la forêt, celui où Saria, le sage de la forêt réside, tout du moins où elle devrait théoriquement résider puisqu'en ces temps de paix, elle a préférée resté au village de son enfance, le village kokiri.
Cette pensé lui arrache un rire, visiblement les déesses se sont relâchées, il n'y a pas si longtemps elles n'auraient sous aucun prétexte laisser un temple sans surveillance, surtout un temple aussi important, mais qu'importe, dans peu de temps elles seront sur le "qui vive" ...
Toutefois, l'euphorie de l'être vêtue de noir est de courte duré, en effet il a atteint son but, devant lui se trouve l'entrée du temple, et visiblement il a parlé un peu trop vite, en effet deux petits lutins habillés en vert semblent en garder l'entrée, l'un d'eux tient même un étrange cure-dent argenté, sans doute le trésor de son peuple, plus connue sous le nom d'épée kokiri. Pourtant, cette imprévue ne le fait pas ralentir pour autant, continuant sa marche vers l'entrée du temple, jusqu'à ce que l'un des jeunes garçon s'avance vers lui.
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Qui êtes vous pour troubler le silence de la forêt ? Et que venez-vous faire ici ? Malheureusement pour lui, le garde n'entendit jamais la réponse de son interlocuteur, et pour cause, d'un geste rapide une épée l'étranger venait de lui transpercer le ventre. Son camarade se dépêcha de dégainer son arme pour lui venir en aide, s'arrêta à mis chemin, en effet une légère bourrasque de vent venait de soulever la cape de l'étranger, dévoilant sa chevelure rousse.
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Ga... ga... Ganondorf .... "
Un cris rauque secoua la forêt, alors que la deuxième épée du seigneur du malin s’abattait sur sa pauvre victime, paralysée par la peur.
Satisfait de ses meurtres le seigneur du malin essaya ses deux lames, puis pénétra dans le temple, réfléchissant encore aux questions de sa victimes.
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Il est vrai qu'un monde en paix est bien silencieux ...
Il est temps de faire un peu de bruit !!!
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